• Aubépine :

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    Famille : Rosacées

    Sous-famille : Malacées

    Nom latin : Alba spina

    Noms communs : Epine blanche, épine de mai, noble épine, bois de mai, poire d'oiseau, sénellier, sable épine.

    Origine : Europe. Menacée de disparition du fait d'une maladie appelée feu bactérien qui jaunit les feuilles.

    L'Aubépine supporte des températures descendant au-dessous de 0° (jusqu'à - 17 °C), elle mesure entre 6 et 12 mètres, sont écorce est fissurée en plaques gris pâle. Elle est à feuilles caduc, ses fleurs sont blanches en petits bouquets.

    Zone de rusticité : zone 7

    Espèces : nous avons l'épine blanche ou aubépine monogyne et l'aubépine à deux styles. Différences entre les deux :

     

     Aubépine

     Taille

     6 mètres

    Feuilles 

     elles sont petites, dentés à 5 lobes.

     Fleurs

     2 styles, en mai et en juin

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     Fruits

     rouge

     

     Epine blanche

     Taille

    10 mètres 

     Feuilles

     elles sont petites, dentés au sommet avec 5 à 7 lobes.

     Fleurs

     1 styles en mai

     Fruits

     rouge

    Parties utilisées : fleurs et sommités fleuries.

    Constituants chimiques principaux : polyphénols dont flavones et dérivés du procyanidol.

    Culture et récolte :

    Sa culture s'effectue par semis mais la plante ne germe que l'année suivante et sa croissance est lente. On repique ensuite les plants, toutes les terres leur conviennent. L'Aubépine est très robuste et peut vivre jusqu'à 500 ans. 

    La récolte des fleurs se fait avant qu'elles ne s'épanouissent, elles sont ensuite séchées en couches minces.


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  • Issoudun vu du ciel :

    Ou plutôt vu de la Tour Blanche

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    Issoudun est située au coeur de la champagne Berrichonne, c'est une cité ancienne dont son nom est issu de la langue celte.

    La Tour Blanche fut construite sur l'ordre de Richard Coeur de Lion entre 1195 et 1202. A près sa mort en 1199 c'est le roi de France Philippe Auguste qui fit terminer l'édifice.

    Avant d'avoir ce point de vue sur Issoudun, il faut monter 150 marches et traverser plusieurs salles de vidéo, maquette de la ville au Moyen-Âge.

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    Au rez-de-chaussée un film est projeté au mur, racontant l'histoire de la Tour. Au premier étage c'est la salle d'honneur où nous trouvons une imposante cheminée et la table ronde.

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    Au deuxième nous avons une salle composée de grande meurtrière.

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    Au dessus de celle-ci a été construit une autre salle où se trouve la maquette de la ville au XVIIème siècle.

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    Pour ceux qui serait intéressé par la visite de la tour blanche voici les tarifs :

    individuels : 3 euros

    12/18 ans : 2 euros

    moins de 12 ans : gratuit

    groupe à partir de 12 personnes : 2 euros


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  • L'énergie photovoltaïque

    La lumière du soleil est absorbée et transformée en électricité grâce aux panneaux photovoltaïques. 

     


    Panneau photovoltaïque

    Source :http://hermes05100.free.fr/regulateur_solaris.htm

    Où l'utiliser ?

     

    Grâce aux panneaux nous pouvons avoir de l'électricité n'importe où nous nous trouvons que ce soit à la campagne dans des zones isolées ou en ville. Déjà dans de nombreux pays d'Europe comme l'Allemagne l'utilise en mettant en place des programmes d'équipement de "toits solaires" sur les habitations individuelles et sur les bâtiments tertiaires dans le but de stimuler la demande et d'accélérer la baisse des coûts de fabrication qui est encore élevé.

    L'électricité produite est fonction de l’ensoleillement de la région où l'on se trouve ainsi si l'on est au nord  pour obtenir la même puissance électrique que dans une région du sud il faut plus de capteurs. L'électricité produite par la capteur est  soit stockée dans des batteries (installation décentralisée) soit revendue (c'est le raccordement au réseau).

    Nombre de KWh/m2/an fournis par le soleil en France :

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    Source : http://www.ciele.org/filieres/solairephotovoltaïque.htm



    Quel est son inconvénient ?

    Le principal inconvénient de cette production d’électricité photovoltaïque est sont coût, en effet elle est plus chère que l’électricité classique. Cependant les prix connaissent une baisse continuelle grâce entre autre à des subventions européennes ou locales. Ainsi, le marché photovoltaïque mondial connaît une croissance rapide depuis les années 80. La puissance crête du parc photovoltaïque européen en 2005 est estimé à 906 MWc (et environ 1 238 MWc en 2006).

    Comment cela fonctionne ?

    Les panneaux convertissent l'énergie lumineuse en énergie électrique. Ces panneaux sont constitués de cellules photovoltaïques que l'on appelle photopiles.

    De quoi sont composées les cellules photovoltaïques ?

    Les photopiles sont constitués de matériaux semi-conducteurs généralement du silicium dopé (jonction p-n) qui transforment directement la lumière du rayonnement solaire en énergie électrique.


    Quand une cellule est exposée au rayon du soleil, les particules de lumière ou photons transmettent leur énergie aux atomes de la jonction. Cette énergie libère alors les électrons (charge N) et des trous (charge P). Ces charges sont maintenues séparées par un champ électrique qui constitue une barrière de potentiel. Une fois les charges isolées il suffit de fermer le circuit entre ces deux zones pour mettre en mouvement les électrons et créer un courant électrique.


    Quels sont les différents types de cellules photovoltaïques ?

    - Le silicium cristallin qui se divise lui-même en deux monocristallin et polycristallin. Son espérance de vie est d'environ 30 ans.

                                      * Cellules silicium polycristallin : elles sont constituées de plusieurs cristaux et l'avantage de ces cellules par rapport au silicium monocristallin est qu'elles produisent peu de déchets de coupe et qu'elles nécessitent 2 à 3 fois moins d'énergie pour leur fabrication. 

                                      * Silicium monocristallin : Son procédé de fabrication est long et exigeant en énergie; plus onéreux, il est cependant plus efficace que le silicium polycristallin. Elles sont constituées d'un cristal à deux couches. 

    - Silicium amorphe : Les cellules amorphes sont utilisées partout où une alternative économique est recherchée ou quand très peu d'électricité est nécessaire par exemple pour les luminaires de secours. Elles sont également souvent utilisées là où un fort échauffement des modules est à prévoir. Cependant le rendement est de plus de 2 fois inférieur à celui du silicium cristallin et nécessite donc plus de surface pour la même puissance installée. Les cellules en silicium amorphe sont actuellement de moins en moins utilisées : 9,5 % de la production mondiale en 2000, alors qu'elles représentaient 12 % en 1999.

    Tuiles photovoltaïques :

    Tuile photovoltaïque

    Source : http://www.technicites.fr/PAR_TPL_IDENTIIANT/726/TPL_CODE/TPL_PROD_NVX_FICHE/PAG_TITLE/Tuiles+photovolta%EFques/Cancel/1/1355-fiche-produit.htm

    La tuile solaire photovoltaïque se place de la même manière qu'une tuile classique, elle présente aussi les mêmes caractéristiques d'étanchéité. D'une surface de 0,5 m2 pour une puissance de 50 Wc, chaque tuile solaire photovoltaïque a la dimension de 5 à 7 tuiles de tuiles traditionnelles en terre cuite.

    Les tuiles solaires photovoltaïques sont constitués d'un ensemble de cellules photovoltaïques reliées entre elles en série ou en parallèle. 1 m2 de cellules photovoltaïques délivre une puissance d'environ 100 à 200 W.

    Le matériau de base des cellules solaires photovoltaïques est le silicium. Sur ces tuiles il y a un film anti-reflet en surface qui permet de diminuer le renvoi de rayons lumineux vers l'atmosphère et qui permet une absorption plus grande partie du flux lumineux.

    20 panneaux de tuiles photovoltaïques couvrent une superficie de 10m2 et assurent une production moyenne de 1000 kWh annuels. Les tuiles photovoltaïques permettent de couvrir les besoins moyens en électricité d’une famille, hors chauffage et eau chaude.

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  • Le pissenlit

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    Genre : Taraxacum.

    Nom botanique : Taraxacum officinale.

    Nom communs : dent-de-lion, florion d'or, laitue des chiens, dent de chien, salade de taupe, couronne ou tête de moine, tête de moineau, liondent, pichaulit, cochet et chopine.

    Origine : Il vient d'Eurasie, présente partout dans le monde.

    Parties utilisées : La racine, la fleur et les feuilles.

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    Détail du fruit du pissenlit

    (Chaque akène est surmonté d'un pappus, structure plumeuse en forme de parapluie provenant de la différenciation du style et du calice).

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    Propriétés :

    Le pissenlit a de nombreuses utilisations médicinales. Il est dépuratif, diurétique et tonique (bon pour le visage et le teint).

    Il est utilisé comme remède contre l'artériosclérose, l'arthrite, la cellulite, le cholestérol, les problèmes de foi, la goutte, les rhumatismes, la constipation, les verrues,...

    Il est riche en sels minéraux, provitamine A, vitamines B et C.

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    Culture, cueillette et stockage :

    Le pissenlit peut pousser jusqu'à 3 000 mètres d'altitude, sa multiplication se faisant par semis de graines. Cette plante vivace mesure entre 5 cm et 40 cm. La cueillette des feuilles et des fleurs se fait au début du printemps, en effet il faut cueillir avant que la fleur jaune ne sorte, la racine quand à elle est arrachée au début du printemps ou à l'automne.

    Il faut les conserver non lavés dans un endroit frais et dans un sac plastique afin qu'ils ne sèchent pas.

    Un peu d'Histoire :

    Le pissenlit vient d’Asie où il était une importante source de nourriture et de médicaments. Avant l’an 1000, les médecins arabes s’en servaient déjà comme médicament. Au Moyen-Âge, en France il était utilisé en médecine comme plante diurétique. Mais il n'aurait réellement été cultivé que depuis le XIXème siècle.

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