• Noël - Nouvel An  Noël - Nouvel An

    Joyeux noël à tous les visiteurs

    Noël blanc dans les petits villages

    Noël est une fête chrétienne qui célèbre la naissance de Jésus. Cette fête donne lieu à des offices religieux spéciaux et à des échanges de cadeaux et de vœux. Dans l'année 354, Noël a été fixé officiellement au 25 décembre. 

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    Le père noël est un personnage allégorique représenté sous la forme d'un vieil homme barbu chargé d'apporter des cadeaux. Il est entouré de tout un folklore :traîneau volant tiré par des rennes, lettre de demande de cadeaux à son intention,... L'image familière du Père Noël, avec sa longue barbe blanche et sa houppelande rouge, son traîneau volant tiré par des rennes et son sac rempli de jouets, est une invention américaine apparue pour la première fois en 1868, dessinée par Thomas Nast pour Harper's Magazine. Dès l'origine le personnage est habillé soit en vert soit en rouge au gré de la fantaisie des illustrateurs.

     

     

     

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  • Les AMAP (Associations pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne)

     

    Elles sont destinées à favoriser l'agriculture paysanne et biologique qui peine à résister à l'agro-industrie. Les AMAP permettent de restaurer un lien direct entre paysans et consommateurs qui s'engagent à recevoir la production à un prix équitable et en payant par avance.

     Qu'est-ce qu'une AMAP ? 

    Une AMAP naît d'une rencontre entre un groupe de consommateurs et un producteur prêts à entrer dans la démarche. Ils fixent entre eux un contrat selon différentes modalités :

    - ils définissent la diversité et la quantité de denrées (fruits, légumes, œufs, fromages, viandes,..) à produire pour la saison. La diversité est importante du fait qu'elle permet aux partenaires de l'AMAP de consommer une grande variété d'aliments, d'étendre la durée de la saison et de limiter les risques dus aux aléas climatiques et aux éventuels problèmes sanitaires.

    - Durant la saison le producteur met les produits frais à disposition des partenaires qui composent leur panier (par exemple une fois par semaine). Le contenu de ce dernier dépend des produits arrivés à maturité. Il est possible, dans une certaine mesure, d'échanger les produits entre eux selon ses préférences.

    - ils se mettent en accord sur les méthodes agronomiques à employer. Ces dernières s'inspirant de la charte de l'agriculture paysanne et du cahier des charges de l'agriculture biologique (les producteurs ayant en général le logo AB).
    Les AMAP participent ainsi à la lutte contre les pollutions et les risques de l'agriculture industrielle, favorisant ainsi une gestion responsable et partagée des biens communs.

    Le prix du panier :

    Il est fixé de manière de permettre au producteur de couvrir ses frais de production et d'avoir un revenu décent, tout en étant abordable par le consommateur. Les consommateurs achètent les produits à l'avance ce garantit un revenu au paysan. L'AMAP participe ainsi au maintien d'une agriculture de proximité et à la gestion de la pression foncière.

    Lieu de distribution :

    Il peut s'agir soit de la ferme elle-même si les partenaires de l'AMAP vivent dans un périmètre proche de celle-ci, soit d'un point de chute situé en ville (maisons de quartier, magasin d'alimentation spécialisée, cour d'immeuble,...). L'horaire est fixé de manière à convenir au plus grand nombre. De plus, pour permettre au producteur de se concentrer au mieux sur la qualité de son travail, un comité de bénévoles est formé parmi les consommateurs partenaires de l'AMAP. Il comprend en général un coordinateur, un trésorier, un responsable de la communication interne, un responsable animation et un coordinateur bénévole. Les membres du comité étant renouvelables à chaque saison de production.

    Ainsi grâce à ce partenariat de proximité entre producteur et consommateurs, les AMAP privilégient le dialogue social entre ville et campagne, facilitant aussi la coexistence entre les loisirs de plein air et les activités productives, et l'usage multiple des espaces agricoles.

     Engagements du consommateur :

    Le consommateur a différentes responsabilités :

    • S’engager en payant sa part de la récolte à l’avance, incluant aussi le partage des risques et des bénéfices avec la ferme, pour la saison à venir.

    • Venir prendre son panier à l'heure et au jour convenus. Prévenir s’il ne peut prendre son panier (retard, vacances, etc.) et convenir d’un arrangement selon les possibilités qui ont été définies au début de la saison.

    • Communiquer ses remarques, questions ou insatisfactions directement auprès de son producteur et du coordinateur, pour qu’ils puissent examiner ensemble si des explications ou des améliorations sont possibles.

    • Partager ses idées et ses initiatives avec la ferme et les autres partenaires afin d’améliorer le fonctionnement du projet.


    Engagements du producteur :

    Le producteur a lui aussi différentes responsabilités :

    • Produire une diversité de légumes et d’autres éléments, si possible, pour composer des paniers variés.

    • Livrer les produits au jour et à l’heure convenus.

    • Aviser ses partenaires en cas de problèmes exceptionnels qui affecteraient la livraison ou toute activité : problème climatique grave, maladie, etc.

    • Être ouvert pour expliquer le travail de la ferme à ses partenaires.

    • Prendre en compte les remarques et les besoins de ses partenaires. Dans le cas où il ne peut satisfaire à une demande, en expliquer les raisons. Effectuer une évaluation à la fin de la saison.

    Garanties :


    Une charte des AMAP est mise en place et adoptée par Alliance Provence qui a déposé la marque AMAP. Des modifications y seront apportées au fur et à mesure de l'expérience acquise.
    Elle permettra d'identifier clairement les AMAP parmi les autres initiatives contribuant aussi à un développement durable de la société.
    La charte donnera accès aux AMAP signataires aux avantages du réseau qu'Alliance est en train de mettre en place : utilisation du nom AMAP, appui technique à la création et au suivi, coordonnées diffusables sur les outils de communication...

    Avantages du développement des AMAP pour la société :

    • apprécier les bénéfices environnementaux d'une nourriture qui n'a pas parcouru des centaines de kilomètres, avec moins d'emballages, issus d'une agriculture bénéfique pour la biodiversité, protégeant les sols et l'eau, moins polluante et moins énergivore ;

    • rendre possible (ou favoriser) le retour des particularités alimentaires locales et régionales ;

    • améliorer l'économie locale par une augmentation des emplois (en 2002 pour les 17 AMAP provençales, 12 postes sont passés de saisonnier à permanent afin de pouvoir fournir de produits en quantité et diversité suffisante pour toute l'année), plus de processus locaux, de consommation locale, et circulation de l'argent dans la communauté ;

    • bénéficier de l'amélioration des liens sociaux, de la responsabilité sociale, du sens de la communauté et de la confiance.

    Les avantages des AMAP peuvent aussi se regrouper selon les 3 axes du développement durable : écologiquement sain, socialement équitable, et économiquement viable.

    Historique :

    Apparut dans les années soixante au Japon de la volonté de mères de famille qui s'inquiétaient des conséquences de l'intensification de l'agriculture et avaient le sentiment d'empoisonner leurs enfants en les nourrissant. C'est ainsi qu'elles ont décidées de se regrouper et de passer un contrat avec un agriculteur : en échange de la garantie d'achat de toute sa production à l'avance, l'agriculteur s'engageait à cultiver sans produits chimiques. Ainsi sont apparut les premiers "Teikei", que nous pouvons traduire par "mettre le visage du paysan sur les aliments".
    Les premiers efforts des Teikei furent coordonnés par l'Association Japonaise d'Agriculture Biologique (JOAA, créée en 1971) et la Fondation pour la Recherche Internationale sur l'Agriculture Naturelle.


    Pendant ce temps en Europe (Allemagne, Autriche et Suisse), des expériences communautaires se basant sur le même principe se développèrent. En 1985, le concept fut importé depuis l'Europe vers les États-Unis et prit le nom de CSA "Community Supported Agriculture". Des projets de ce type sont ensuite apparu dans la région de New York comme moyen de répondre à la forte baisse du nombre d'agriculteurs et à une difficulté d'accès des populations à bas revenu à une alimentation de qualité. Les CSA se développèrent ainsi, se répandant jusqu'au Canada avant de traverser de nouveau l'Atlantique pour s'implanter en Grande-Bretagne.

    Dès 2000, Daniel Vuillon envisage la création d'AMAP. En 2001, après un voyage aux Etats-Unis où ils découvrirent les CSA, les Vuillon, agriculteurs en périphérie de Toulon, décidèrent de lancer la première AMAP (Association pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne) en France. Cette expérience leur permetta de maintenir leur activité dans une région qui a perdu en 5 ans 15 000 exploitations agricoles, surtout parmi celles de petites tailles, soit un tiers de ses effectifs.

    Aujourd'hui, le phénomène se propage toujours :

    • Europe du Nord, Hongrie, Ghana, Australie, Nouvelle Zélande...

    • Au Japon, un foyer sur quatre participe à un Teikei (16 millions de personnes en 1993).

    • Aux Etats-Unis et au Canada, 1 400 CSA fonctionnent, regroupant 100 000 familles.

    • En Grande-Bretagne, 1 000 CSA existent.

    • En France, une vingtaine sont présentes en PACA, plusieurs projets sont en cours dans le reste de la France.
      Page en construction


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  • Dimanche 27 septembre de 9h30 à 18h00.

    Marché des producteurs et des artisans à Saint-Baudel dans le Cher Chez Dominique et Francis Gery élevage Charolais) à la ferme de Colombre.

    Possibilité de déguster le midi les produits fermiers sur place et sous abri.

    Tables et couverts à disposition.

    Tombola avec lots offerts par les producteurs.

     

    Entrée Gratuite.


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  • Abandon du projet de ferme bio à Baraize

    La plus importante exploitation bio d'Europe qui devait voir le jour à Baraize, sur un site très concerné (le domaine de Chamorin dans le Boischaut Sud) ne se fera pas.

    Fin mars, la Fédération nationale de l’agriculture biologique avait tenu son assemblée générale sur les berges de l’étang de Bellebouche, persuadée d'avoir trouver en Brenne un environnement préservé qui correspondait à ses valeurs. En découvrant le domaine de Chamorin, Christian Torregrosa avait eu ce même sentiment. Le site, qui est abandonné depuis plusieurs décennies, possède 84 hectares vierges de culture intensive et les fours à pain de ses dépendances appellent à une alimentation traditionnelle. La SCEA « Terres en saveurs » y veut y installer la plus grande exploitation bio d’Europe.

    Le dossier, bien avancé, attendait l’aval de la Safer. En mars dernier le porteur de projet exliquait "Nous avons obtenu le prêt pour acheter le domaine à un groupe hollandais, mais il nous manque cette signature qui nous a déjà fait perdre un an. Dans l’immédiat, nous souhaitons aménager les lieux pour faire de la culture, du maraîchage, de l’élevage de porcs, moutons et volailles bio, et transformer nos produits, commercialisés ensuite par le biais d’un concept révolutionnaire."
    La société bénéficiait en effet de vingt-huit points relais en région parisienne et de 1.295 clients "abonnés". A cet investissement de 6 M€ succéderait la création du premier centre de formation bio européen. A terme, la SCEA comptait créer 220 emplois directs mais aussi faire travailler de nombreux partenaires locaux. Elle souhaitait également développer l'écotourisme grâce aux cinquante-six chambres du château, en proposant une découverte de l’exploitation et de la région par des promenades en calèche. "Nous sommes très crédibles et si nous obtenons rapidement cette signature nous serons opérationnels au printemps 2010", assurait alors Christian Torregrosa, qui multipliait les démarches en assurant qu’il y avait vraiment de belles choses à faire dans cette superbe région du Boischaut-Sud.

    Septembre 2009 la Nouvelle République nous explique que le projet est tombé à l'eau en ce demandant si le département de l'Indre a laissé passer sa chance puisque le projet d'installation de la plus importante ferme bio d'Europe à Baraize est en effet abandonné. Christian Torregrosa, qui voulait acquérir le château de Chamorin et ses 84 hectares, ne cache pas sa déception. "On se bat depuis deux ans pour acheter le domaine, le prêt était accepté, et on s'était donné jusqu'à la fin de l'été pour que ça aboutisse. Nous ne pouvons plus attendre et nous allons maintenant nous intéresser à d'autres sites. " Il met en cause la Safer. Alors que l'organisme, qui assure qu'il ne pouvait s'impliquer dans le montage proposé, regrette également de ne pas avoir été davantage soutenu ou niveau local. "Les habitants de l'Indre sont charmants mais ils se méfient de l'étranger qui arrive, même si je suis originaire du Blanc où je possède une maison. Nous étudions maintenant deux projets en Mayenne et en Anjou-Touraine, mais aussi en Belgique où on nous accueille à bras ouverts avec la possibilité de nous aider financièrement. "
    Dans l'immédiat, la SCEA destinée à gérer le dossier berrichon, sera donc dissoute. Adieu veaux, vaches, cultures bio et centre de formation, susceptibles de générer au bout de trois ans 439 emplois directs et indirects ! Les produits transformés sur place devaient être commercialisés auprès de 1.295 clients abonnés. Monsieur Torregrosa conclut en disant "J'avais fait de l'Indre une priorité. C'est dommage, surtout en cette période économique difficile. Quant au château de Chamorin, il va maintenant tomber en ruine…"

    Source : Nouvelle République


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  • 23 Août 2009 Festivité Terr'agri

     Dimanche 23 août 2009, la champenoise au lieu-dit "La petite Chignaterie" accueillait la manifestation annuelle des Jeunes Agriculteurs de l'Indre (Terr'Agri). Cette journée était aussi le moment du concours départemental de labour.

    Différentes activités étaient proposées : mini ferme, course de tracteurs à pédales pour les enfants. Exposition de matériels agricoles et miniatures, itinéraire d'une culture, battage à l'ancienne, baptême d'ULM ainsi qu'un dîner champêtre animé par Unavandeux (musiques et chants du Moyen-âge à nos jours).

    Dès 10 h les activités se sont mises place avec les essais et réglages pour le concours départemental de labour. 14h30 c'était le coup d'envoi de la finale du concours. 

    Au cours de la journée une présentation du rôle du lavour et de la vie du sol était présenté par joël Moulin pédologue à la chambre d'agriculture de l'indre.


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